Le photographe et plongeur Laurent Ballesta remporte le grand prix du prestigieux Wildlife Photographer of the Year !

Le photographe et plongeur Laurent Ballesta remporte le grand prix du prestigieux Wildlife Photographer of the Year !

Photographes de l’année est plus qu’un simple concours de photos. Son but est de sensibiliser le public aux sensibilités de la nature. Et qui mieux que Laurent Ballesta pour mener à bien ce bel espoir ? Personne, à propos de cette année les juges. Le biologiste, chercheur et photographe – et sponsor de Futura – a reçu le prix du photographe animalier de l’année 2021. Bravo !

[VIDEO] Laurent Ballesta parle de sa passion pour le cœlacanthe Avec la passion du plongeur et biologiste, Laurent Ballesta nous raconte pourquoi il retournera aux cœlacanthes, attraper et étudier ce poisson a émerveillé les scientifiques. © Laurent Ballesta

Laurent Ballesta. C’est un zoologiste, allez. Et à Futura, on le connaît bien. C’est vraiment bien. Il y a quelques années, il est devenu l’un de nos sponsors. Avec l’envie de nous faire partager sa soif de recevoir. Pour mieux ressentir et comprendre le monde de la mer, renforcez-nous pour le défendre.

L’année dernière, il a fait une mention spéciale. Les rédacteurs en chef du Wildlife Photographer of the Year – qui a consacré « une ceinture de tigre » – ont voulu « fortement recommander » certaines de ses belles photos sous-marines.

Surprenant, énergique, excitant, merveilleux

Cette année, Laurent Ballesta devient le premier Français à remporter le grand prix de ce prestigieux concours. Un prix qu’il reçoit pour son film « Création », sélectionné parmi plus de 50 000 films en compétition. Il dépeint un paysage en Polynésie française. Ce fut une époque pleine d’émotion et de poésie. C’est une période unique de l’année. Ainsi, la femelle lâche la tête des œufs aux mâles dans l’espoir de faire éclore. «C’est un film surprenant, puissant et convaincant. Beauté d’un autre monde », a déclaré Rosamund Kidman Cox, présidente du conseil d’administration.

Il aura fallu au moins cinq ans d’efforts au photographe pour réussir à recréer ce moment magique. C’est l’équivalent de 3 000 heures de plongée avec l’équipe de Gombessa. Environ 85 000 photos ont été téléchargées. Avant que ce ne soit fini, la nature lui a fait ce merveilleux cadeau.

« Ce nuage d’œufs, à l’issue incertaine, ressemble à un point d’interrogation. J’y vois un signe, que l’incertitude pèse lourdement sur l’avenir de la biodiversité mondiale, même dans des zones intactes comme la Réserve de Fakarava en Polynésie française, classant Man & amp; La biosphère, c’est l’UNESCO », a déclaré Laurent Ballesta, les larmes aux yeux.