Les Québécois devraient comparer le plan de définition et la plongée sous-marine afin de comprendre l’importance de ne pas relâcher les mesures sanitaires trop rapidement, selon le chroniqueur Richard Martineau.
« Quand tu prends des cours de plongée sous-marine, tu descends dans le creux, et si tu remontes trop vite à la surface, tu risques de mourir, tu vas avoir une embolie », explique-t-il, portant son masque. Plongée en apnée.
Selon lui, la dénomination de la province est par degrés comparable à l’ascension en pratiquant la plongée sous-marine.
« Tu montes de quelques mètres et tu restes. Après, tu montes de quelques mètres et tu attends encore. On y va pas à pas », décrit le chroniqueur et l’animateur.
Il est clair pour lui la comparaison avec le plan de déconsolidation présenté par le gouvernement Legault mardi soir.
« C’est le plan qui définit, c’est la plongée sous-marine, vous n’avez pas à remonter à la surface immédiatement », a déclaré Richard Martineau.
Le chroniqueur finit par jeter trois points sur le millier de fêtards qui ont conduit à la fermeture d’Oka Beach mercredi parce qu’ils n’ont pas respecté les mesures physiques cyan.
« Les habitants d’Oka, ils seraient morts d’embolie s’ils avaient été plongeurs », dit-il.
Écoutez la critique complète de Richard Martineau dans la vidéo ci-dessus.